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Buffalo

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À propos de Buffalo

  • Date de naissance 05/05/1964

Contributions de Buffalo

  1. Buffalo

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    Bonjour à tous, Je n'avais pas remarqué ce topics non plus.Faut dire que le site est touffu et que j'ai encore un peu de mal à m'y retrouver. J'habite en Belgique mais juste à côté de Fumay (08). J'ai commencé à rouler en Cox en ...1984:eek: (ben oui, c'est pas nouveau) et j'ai arrêté d'en restaurer en 1995. J'ai ensuite vendu mon dernier véhicule (Buggy Apal long, moteur 2,0l) en 2001. J'ai aussi fait partie jusqu'à la fin de l'organisation de la concentre de Mariembourg, pour ceux du Nooord (et de Normandie aussi) qui s'en souviennent. Je viens de recoller au mouvement sur un coup de coeur. J'avais toujours dit que si un jour je devais reprendre une Cox, ce serait une 64 ou une ovale. Mais en septembre l'année dernière, un copain m'a appellé pour me dire qu'il avait quelques véhicules de collection à vendre, dont une Cox de 66. Quand je l'ai vue, trop tard c'était fait!! J'ai dit "Celle-là, c'est pour moi!" 1300 de 1966, couleur rubis red (une de mes préférées) quelques options d'époque et pas d'époque, 85000 km au compteur, dans son jus, jamais restaurée. Les freins étaient morts (maître cylindre HS), pour le reste, après plus de 10 sans sans tourner, elle a démarré au quart avec juste de la nouvelle essence. J'ai refait les freins complets à neuf, fait le gros entretien du moteur et repeint les deux capots et les deux ailes arrières qui étaient soit bignés, soit criblés de petits coups de cailloux. Un bon polissage du reste (merci Christian), et direction le CT. Verdict: carte vierge! :D Et demain, je l'offre à ma femme pour nos 20 ans de mariage. Elle complètera bien sa collection de +/-500 miniatures VW , je pense. Ne lui dites rien, elle n'est absolument pas au courant que j'ai racheté une cox!!!!!!!!!!
  2. Moi je reponce au papier fin juste pour assurer l'accrochage du phosphatant qur la couche noire formée par le convertisseur. Je crois que reponcer jusque la tôle n'est pas utile si tu as juste traité les résidus. De toute façon, le produit ne pénétrant pas, la rouille intermoléculaire est toujours là. Laisser la couche noire au lieu de la reponcer laisse un barrage supplémentaire entre la corrosion et l'O2 ou l'humidité de l'air qui la provoquent. Ce qui est sûr, c'est que je croise encore des VW que j'ai restauré il y a une vingtaine d'année, et ce que j'ai réparé et retraité à l'époque n'a qu'exceptionnellement bougé.
  3. TTof, concernant la profondeur du traitement avec un convertisseur, je peux te dire qu'il n'y pratiquement aucune pénétration du produit dans la rouille. Si tu traites une tache insuffisamment décapée, tu verras après séchage que si tu ponces au gros papier, tu retombes directement sur la rouille. C'est ce qui explique l'obligation de décaper au maximum la rouille pour ne traiter vraiment que les derniers résidus restants. En fait ces produits sont efficaces contre la corrosion de surface (les petites araignées de rouille qui partent d'un coup de cailloux par ex.) mais pas contre la rouille intermoléculaire. Ce qui est vraiment important quand on traite la rouille, c'est d'enlever vraiment le max d'oxydation (c'est pourquoi le sablage est l'idéal) et d'appliquer un bon apprêt phosphatant QUAND LA TOLE EST BIEN SECHE et dégraissée. Quand il fait moins de 20°C, je passe toujours un léger coup de décapeur pour réchauffer et sècher la tôle à fond avant d'appliquer l'apprêt. Cela permet d'isoler valablement le métal oxydé de l'oxygène de l'air et de l'humidité qui sont les deux facteurs qui pourraient permettre àl'oxydation de redémarrer. Autre chose aussi. Quand une tôle présente de la corrosion qui forme déjà des piqures, ils est important d'aller examiner l'autre côté de cette tôle. Bien souvent, cette face présente déjà des petites piqures, ce qui veut dire que la corrosion intermoléculaire a déjà percé la tôle. Dans ce cas, il ne faut pas oublier de traiter cette face aussi, sinon c'est de là que la rouille va repartir sous la réparation extérieure. Enfin, concernant les réactionspossibles entre les apprêts et les convertisseurs, je n'ai plus jamais eu de problème à partir du moment où j'ai appliqué la règle dont je parlais dans mon post précédent, à savoir utiliser la couche de convertisseur la plus fine possible (essuyer dès que çà noircit). Mais c'est vrai qu'auparavant, quand j'en barbouillais allégrement en croyant bien faire, il fallait absolument appliquer un apprêt neutre avant tout autre chose, ce qui anihilait les avantages de l'apprêt phosphatant. Comme quoi le mieux est l'ennemi du bien! T'es de quel coin dans la Meuse, moi je suis en Belgique mais juste à côté de Fumay (08).
  4. Salut à tous. Je suis nouveau sur le site mais revenant dans le milieu après 14 ans d'abstinence! Comme quoi le virus Cox ne se soigne pas... Perso et surtout dans le cas d'une 356, j'aurais préféré sabler (les petites sableuses du commerce avec sac récupérateur et manchon de sablage en caoutchouc ne vont pas mal du tout) puis, après avoir très légèrement enfoncé la tôle à l'endroit incriminé, étamage. Cette méthode, c'est sûr, çà ne bouge plus jamais. Mais la méthode décrite est pas mal non plus. En Belgique on trouve l'équivalent du féroze sous différentes marques, entre autre Frameto. Il ne faut surtout pas oublier que ce produit à l'aspect de lait bleuté doit s'appliquer uniquement sur les traces résiduelles de rouille (pas sur des grosses croûtes!) et aussi sur une tôle bien dégraissée comme expliqué par TTof. Mais de plus, avant ils en faisaient mention sur l'emballage (les commerciaux ont dû passer par là!), il faut traiter la rouille avec la couche de produit la plus légère possible. Perso quand j'applique au pinceau, dès que ça commence à noircir, j'essuie l'excédent. Ceci dit, merci TTof pour l'initiative pédagogique et constructive.
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